Le volley-ball assis, discipline paralympique, procure au pratiquant les mêmes sensations que le volley debout.
Bien que moins puissantes, les attaques nécessitent de solides réflexes pour pouvoir sauver les balles.
Sport physique, il amène fréquemment ses pratiquants à se coucher au sol.
La technique est primordiale, ainsi que la vitesse de réaction.
Plus d’infos sur le site de la ligue Handisport francophone ou sur celui du Comité Paralympique Belge.
Les règles du volley assis sont basées sur les règles de la Fédération Internationale de Volley-ball pour le volley-ball, avec quelques modifications mineures.
Le terrain, par exemple, est plus petit (10 x 6 m) et le filet est moins haut (1,15m pour les hommes, 1,05m pour les femmes), et le jeu est beaucoup plus rapide que le volley debout.
Les équipes en compétition dans les événements masculins et féminins, sont composées de six joueurs. Les joueurs doivent tout le temps être en contact avec le sol, et les blocs du service et des attaques sont autorisés une partie du torse de l’athlète.
C’est une discipline paralympique depuis 1980, au niveau international les joueur(se)s doivent être classifié(e)s comme étant handicapé(e)s physiques afin de pouvoir participer aux compétitions officielles.
Toutefois, le volley assis permet au plus bas niveau d‘encourager la mixité en permettant aux personnes handicapées et aux valides de pratiquer ensemble avec la même intensité et le même plaisir ! C’est ce que proposent nos clubs affiliés.
Actuellement en Fédération Wallonie Bruxelles Capitale seul le club de Namur Volley propose cette discipline.
Lors des finales de la coupe provinciale un match de gala de volley assis a été organisé.
Résultats, classements, clubs et rencontres, … Le tout en direct sur le portail de la Fédération Volley Wallonie-Bruxelles !
